Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 16:12

IMG_0077-copie-1.JPG

 

Tchatche.com, samedi soir. J'erre, cherche des dialogues mais sans plus. Et là, un homme, la quarantaine ou un peu plus me parle ou plutôt m'allume. Déjà échauffée de quelques dialogues précédents, je me laisse embarquer dans cette conversation, j'en rajoute même. On papote osément puis me dit qu'il aimerait se faire sucer ce soir. D'humeur coquine je me dévoue mais précise bien que ce sera la première fois. On "blablatte". J'ai souvent croisé des mythos mais là, je ne sais pourquoi, mais j'ai envie d'y croire. Et là il me propose un plan. Serait ce l'excitation du moment, l'envie d'essayer ou juste le plaisir mais ma réponse est "oui". Il est des Bouches-du-Rhones, mais je ne sais plus où exactement. Je lui donne quelques indications et un plan descriptif, le lieu et l'heure du rendez ous : 23h00, et il se déconnecte. Un autre mythos, un faux plan ou autre? Tant pis.
22h30, à une demie heure du rendez vous la pression monte, j'ouvre un placard de chez moi et ...Oh, du whisky. Un verre, deux, trois, combien en ai-je pris ? Une dizaine selon mes souvenirs. Je vais préparer mes affaires. Je met un soutien gorge, un string, un tee shirt de feme, col en "V", un pull-robe, des bas noirs et un jean. Par dessus tout ça, j'enfile un jogging de garçon. Dans un sac, une veste de femme, et des escarpins.
Précisons qu'il m'est déjà arrivé d'effectuer des sorties tard le soir, je me prépare à peu prés de la même manière, je prend le sac où il y a toujours une lampe torche pour ces activités nocturnes. Je trouve un endroit discret et me prépare en vêtement de femme. Je fourre mes vêtements de mecs dans le sac, le sac dans le coin et me voilà, une FEMME. Il fait nuit noire, il est tard, le lieu est discret mais malgrès tout la peur de se faire surprendre est bien présente mais pas de quoi freiner mes hardeurs. Je me déambule telle une vraie petite femme. Mais je ferais quoi si quelqu'un arrivait ??? Aucune idée, et je préfére ne pas y penser.
Enfin bref, retour à samedi soir, 22h50. Et là deux questions me hantent : "J'y vais ?", "J'y vais pas ?".
23h00 s'affiche sur l'horloge du salon, bon l'alcool aidant, je me lance.
Direction la salle de bain, sans bruit, j'enfil un bonnet, une paire de lunette de femme, et me met un coup de rouge à lèvres. Je descend les escaliers, enfile un blouson, met des baskets, ouvre la porte et sans m'en apercevoir me voilà à une dizaine de mètres du lieu de rendez vous. Regard furtif de l'endroit pour essayer d'y apercevoir une autre présence, personne.
Soudain, un bruit de moteur approche, ralentit et s'arrête à ma hauteur. Même si je porte des vetêments me rendant anonyme, la pression monte.
"Alors c'est toi ?" lance le chauffeur. Je ne sais plus que faire, que dire ni même quoi penser. L'idée de m'enfuir en courant me traverse l'esprit mais mes jambes semblent refusées. D'une voix tremblantes que j'essaye de rendre la plus féminines possibles, j'arrive à répondre :
"Oui, attends moi ici, je vais me changer."
Je m'écarte de la route, approche un p'tit coin discret, enlèves le blouson, le jogging et mes baskets. Ouvre le sac, enfile la veste et les escarpins. Je suis prêt... NON... JE SUIS PRÊTE ! Je me saisis de la lampe torche, remonte la pente pour aller sur la route et fais quelques signes avec la lumière. Le moteur redémarre, je me retourne aussitôt et retournes dans le petit coin. Me voilà en contrebas. La voiture s'arrête, lui descend. Le whisky monte à la tête comme la pression. Il descend le petit talus, je m'approche de lui dans la nuit légèrement éclairé par la petite rue voisine et la lune. La lumière est faible mais j'y vois assez pour voir où je met les pieds... et les mains. JKe m'approche de cette silhouette, et me saisit de sa ceinture avec les mains, je la défait, baisse son jean en forçant un peu, son caleçon aussi, et tout cela sans me poser de questions.
ET LA VOILÀ... une queue mi molle (ou mi-dur), elle ne semble pas bien longue mais semble épaisse. JE la prend en main, me met à genoux et m'approche d'elle. Elle durcit un poil mais pas totalement. C'est là première queue que je m'apprêter à sucer. M'entrainant sur divers objets, c'est totalement différents. L'extrême douceur combiné à ce côté dur, je n'est pas besoin de la tenir moi même.
C'EST UN PLAISIR ABSOLUE... Et cette odeur ?!?!?!
Une odeur forte, qui en temps normal pourrait paraître nauséabonde, mais là cette odeur m'enivre. J'ai cette odeur qui me parcourt le nez et je la veux dans la bouche.
J'approche au ralentit ma langue et ça y est.
JE LECHE MA PREMIERE QUEUE.
Je repense aux vidéos pornos que je regarde chez moi (et oui, je suis huamin ^^) et revois ces blondes, brunes, rousses et autres se livrer à la pratique de la fellation.
J4essaye de me souvenir de leur geste, leur attitude, leur mouvement et tente de les reproduire. Je lèche délicatement le gland en jouant avec ma langue dessus. Je la promène sur toute la longueur. Je commence à l'enfoncer progressivement, puis j'y vais... JE LA SUCE !!!, pour bon. Des va-et-vient agrémenter de bruits de succions.
Dans une de mes vidéos, une blonde enfonce littéralement la queu entiére de son partenaire dans sa bouche (pour les connaisseurs et les curieux, ça s'appelle "une gorge profondeur"). J'ai déjà essayer sur des objets et je me dit que si elle y arrive, pourquoi pas moi.
J'attaque cette queue, qui semble grossir à vue, je l'enfonce dans ma bouche, une sensation d'étouffement arrive mais c'est le raclement sur mon palais qui me donne un légère remontée.
Je la retire et reessaye aussitôt. Nouvel échec. Je ne m'avoue pas vaincue pour autant et je retente.
Et là, plus rien. Enfin si, j'ai une queue épaisse et entière dans ma bouche et ça ne me géne pas. J'en veut même plus, seulement comme je l'ai dit, elle est déjà enfoncé entièrement. J'ouvre un oeil et voit son ventre à quelques centimètres. Mon nez le colle presque. Nouveaux souvenirs d'une vidéo : je sors ma langue pour lécher les "bonbons".Sa bite dans ma bouche, je sors ma langue pour carresser les boules. Je plane. Puis je rerentre ma langue. Imaginez "un roulage de pelle" dans les règles de l'art. Maintenant imaginez qu'au lieu que ce soit votre langue, ce soit votre sexe. J'appelerais ça "un roulage de gland". Toute sa queue dans ma bouche, ma langue tournant autour en alternant la vitesse. Peut être qu'avec une queue plus longue ça n'aurait pas été possible, mais là, la taille est parfaite.
De l'instant où j'ai gober son membre jusqu'à ce que j'arrive à la faire tourner sur ma langue, il a du se passer une trentaine de seconde, voire plus, mais j'ai l'impression d'une éternité. Je recommence à le sucer en variant les plaisirs ^^.
Toujours à genoux, je me suis cambrée sans m'en apercevoir. Lui l'a vu et il commence à me caresser les fesses.
MAIS JE NE SUIS PAS VENUE ME FAIRE ENCULER ! Je me souviens de cette pensée car le geste qui a suivi était totalement paradoxal. Je me suis cambrée un peu plus, j'ai défait la braguette de mon jean, lui s'est chargé de le baissé jusqu'à mes genoux et recommence à me carresser à travers le string. 999.jpeg
Puis il le baisse également, et alors que je m'attend à ce qu'il me pelote encore entre les fesses... IL Y RENTRE UN DOIGT. AIE... La douleur est silencieuse mais bien là. Je me suis déjà mis des objets mais jamais en forçant. Et là, c'est fait. Ca pique, ça brûle, ça chauffe.... Je sens mon anus serré comme jamais.
Il y a t-il toujours le doigt ???
Ca fait trop mal pour sentir si oui ou... OoooOOhhhHHH, OUI, il est là, je le sens bouger. J'ai totalement oublier sa queue que j'ai laché. Je serre les dents, je ferme les yeux et ça ne m'étonnerait pas qu'une larme coule sur ma joue. Quelques secondes s'écoulent et la douleur semble être parti aussi vite qu'elle était venue. Quelle sensation. Son doigt dans mon cul est magique. Me faisant passer d'une souffrance anale à un nouveau plaisir. Des petits va-et-vient qui me font vibrer. Ca pique encore un peu MAIS C'EST SI BON.
"SUCE MOI" me dit il. Son doigt me redonne l'excitation nécessaire pour me replonger sur sa queue. Ma langue se promène sur sa queue comme son doigt dans mon cul. Il retire son doigt séchement, commence à gémir et parviens à bafouiller : "C... C...Ca...Ca vient". Je n'ai jamais reçu d'éjaculation faciale mais ca sera pour une prochaine fois.
Je le branle aussi vite que possible et je ressens le premier spasme qui me fait vibrer la main et là, L'EXPLOSION. Je suis au première loge de ce spectacle. Le premier jet est puissant, semble d'un blanc presque pur. Je suis subjuguée. Evidemment je me suis déjà branlé jusqu'à "envoyer la purée", mais là, la purée ressemble plus à une crême onctueuse. Le jet finit sa course à environ un mètre, dans l'herbe. Regard de retour sur sa queue, je ne le branle plus, je n'ai même plus la main dessus et ne me souviens pas l'avoir lacher. Il continue le show tout seul. Ai-je manqué une "projection", aucune idée, mais une autre vient de partir. Elle semble encore plus gouteuse que le première et va s'écraser tout proche, laissant une trainée dans l'herbe. Les jets se suivent, je ne les comptent plus, et puis, plus rien. Il approche sa queue de ma veste, et s'essuit sur l'épaule droite. Je tourne la tête pour voir les traces sur l'herbe. Que ça a l'air bon. Moment de reflexion. Pourquoi me suis-je décalée ? Les trainées blanches semblent brilées, étincelées... comme féeriques. Je me surprend à regretter ne pas avoir été la piste d'attérissage de ce liquide volant. A ce moment là, je recrée la scéne dans ma tête.
Je met mon visage légèrement en arrière, bouche entre-ouverte, langue sortit. Et feu. Première giclée au fond de ma gorge, seconde sur la langue, les autres viennent parsemées mon visage. Langue toujours dehors, je m'en sert pour nettoyer la queue om quelques gouttes sont posées.
Je n'aurait peut être pas avalé ce jus, mais me serait amusé à le faire ressortir par la commisure de mes lèvres.
Retour à la réalité. Combien de temps à durée cette pensée ? Aucune idée mais quand je reprend mes esprits, monsieur est déjà à quelques mètres de sa voiture. Sans un mot, il s'en va.
Me voilà seule, à genoux dans un petit bois, les fesses à l'air.
J'ai honte et espére presque à un rêve. Aurais-je rêvée ?
Je jette un coup d'oeil dans l'herbe. Les trainées sont toujours là, il y a ce goût dans ma bouche. Pour être sûre, je tourne la tête vers la droite et sent ma veste. Ouaaawww. Quelle odeur, forte, légèrement fruité, je me surprend à vouloir y jeter un coup de langue rapide mais y renonce.
Puis vite, j'enléve les vêtements de femme, me rhabille en "mec", fourre les autre vêtement dans mon sac et m'en vais. Mince, les escarpins sont dans l'herbe. Je les prend et les jette dans une poubelle sur le chemin du retour. Une fois chez moi, j'ote tout et enfile un calecon et un tee chirt et me faufile dans mon lit. LE goût est toujours là. Je descend, me brosse les dents, prend un chewing gum et remonte.
Lendemain matin, j'ai honte. Honte d'avoir pris un tel plaisir. Mon p'tit trou pique un peu lors de ma branlette matinale. Le regret de la veille, ne pas avoir "fait face à l'ennemi". Je ferme les yeux et revoit sa queue.
2-3 jours aprés, je matte un porno et une éjaculation faciale, en tenue de trav. Comme pour me narguer, la fille du film, visage plein de sperme, regarde la caméra en se léchant les lévres comme pour me dire : "Tu as manqué la meilleure crême au monde !" J'ouvre la bouche devant mon écran (comme une conne hihi) espérant que le fameux liquide blanchatre va traverser l'écran et venir s'étaler sur mon visage.
Avant, je regardais des pornos, imaginant mon sexe dans la bouche des actrices.
Maintenant, j'veux être à leur place, et manger ses belles queues.
Alors, je sors un objet et mime une fellation....
Je suce.... Je suce.... Je suce.... Je suce.... Je suce.... Je suce.... 223.jpeg

Par emmalatravdu84
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Juillet 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus